Jais goûtait une femme africaine

J'ai une fois eu l'occasion d'approcher une belle amazone venue d'Afrique. Ma foi ce n'était pas un but en soi, mais une black m'invitait chez elle, alors pourquoi pas ;). Je découvrais une femme de mon age à l'époque donc de 29 ou 30 ans. Une belle femme noire, de type tigresse reine en sa demeure. Un regard fin et rusé, une crinière longue sur ses épaules, un joli sourire rayonnant. La dame était divorcée, 2 enfants absents ce soir là. Je venais lui apporter une bouteille de vodka, et lui négociais un baiser un peu plus tard, tandis qu'elle me demandait de la conduire quelque part. Hmmmm un baiser agréable, des lèvres fermes et une langue rose appétissante. Et toujours ses yeux doux de séductrice dangereuse.

Plus tard, je l'approchais plus avant, découvrant sa peau douce et noire, et ses frissons et sa douceur apeurée quand j'approchais sa nuque. Héhé, je compris pourquoi un peu plus tard.

Une nuit, la dame m'emmena dans une cave sous un restaurant africain, officiellement fermé car il était très tard, mais officeusement ouvert pour la nuit, pour la communauté noire. Un privilège remarquable.
La dame reignait également ici bas, au centre de la cave aménagée en bar secret, avec son homme blanc à ses côtés, figure iconoclaste, sage et posée.
J'ai eu plaisir à être ainsi le centre d'attraction de la soirée.
J'aimais sentir ma compagne à mes cotés, silencieuse et respectée et sentir en elle une sorte de fierté.
J'ai apprcécié de pouvoir discuter avec des gens que je n'approcherai pas d'habitude. Discuter avec un ancien tirrailleur sénégalais, un vigile de la fnac, et d'autres dont j'ignore l'histoire et l'activité. Se faire allumer comme un bon par une danseuse éméchée à l'oeillade hilarante et au superbe déhanché. Ou être l'objet d'une attention lointaine de jeunes belles déjà bien entourées de leurs chauds prétendants.
J'ai eu plaisir à découvrir tout un monde diversifié pour animer cette vie secrète, intime, vibrante et exotique. Je restais ainsi au centre, calme et serein, la main sur ma compagne souriante et rayonnante. Et très ouvertement, j'aimais offrir mon répondant à cet accueil si généreux et étonnant.

Ainsi je goûtais avant tout à la culture africaine, même si en effet je goûtais la dame noire.
Je goûtais à cette femme alors oui, sans masque, sans entourage, avec curiosité. Je compris l'effet que je lui produisais, ses frissons et sa timide réserve, parceque j'approchais en fait de sa perruque de reine tigresse, puis mise à jour sa tête enfantine.
Elle se lâcha un peu plus au fur et à mesure que je la faisais jouir révélant une certaine tendresse spontanée en plein contraste avec son attitude réservée de séductrice au regard rusé.
Je goûtais alors à sa peau toute douce, partout, et à ses seins généreux et vibrants à souhait.
Je goûtais à d'autres lèvres charnues et intimes refermées sur un rose nacré si éclatant dans son entrecuisse ombragée.
Je goûtais à ses orgasmes, puissants, cambrés, les yeux ouverts et roulants, comme éffrayés par un tel plaisir si déroutant apparemment.

Je me contentais de goûter cela dit, et après quelques soirées je compris que son tempéremment de tigresse s'approchait plus de l'ogresse.
Je croisais une de ses filles un matin, à peine étonnée de me voir dans le lit de sa mère, un parmi d'autres...
Et puis, la dame avait une nature au laisser faire, avec un petit côté vénal dérangeant. Je lui amenais de la vodka, la promenait dans Paris, lui servait de faire valoir dans sa communauté, donc elle m'ouvrait son lit, entre autres. Une fois, j'assistais une soirée à l'attention d'une horde de mâles nombreux autour d'elle, dans l'attente de savoir lequel elle choisirait pour son lit. Au moment de sortir, en bande d'affamés, "Qui m'aime me suive" se plaisait elle à dire et j'avoue que pour ma part, j'aime la notion de privilège et j'aime me sentir particulier.
Alors bye bye tendresse et exotisme, pour plus d'intimité si possible.