Jais domptait une insoumise

J'ai en effet eu l'occasion de réellement jouer au maître es sexualité.

Il y eut d'abord cette jeune créature, une jolie étudiante, fine, blonde, au corps magnifique, aux seins fermes à souhait à l'intelligence vive et au caractère bien trempé. Une jeune femme donc qui malgré son copain régulier et bien maîtrisé, se laissait tenter par l'idée d'approcher un homme plus fort, plus dominateur quelque part. La demoiselle voulait se laisser prendre en main se faire dominer, se faire remettre en place, par quelqu'un qui en vait la carrure par rapport à son copain ou ses collègues de classe.

Une initiation somme toute limitée à un jeu de rôle, mais la demoiselle, en eut pour sa curiosité, délicatement, en douceur, mais fermement, héhé. J'appréciais alors d'être en équilibre entre l'écoute de son ressenti, de ses désirs, et le pilotage tendre mais ferme.
La demoiselle était en quête de mon regard, ou plus même, de mon jugement. Elle se laissait faire et devenait une poupée fragile et pleine de doutes entre mes mains. Elle était très troublée de faire ou subir ce qu'elle avait l'habitude de piloter avec arrogance généralement. Elle se laissait aller finalement, et soupirait d'aise et de contentement, voire à en redemander.
Miam !!
La demoiselle pris goût au voyage, trop peut-être au point où elle me fuit ensuite de peur de trop s'y perdre je crois savoir.

Depuis, je m'aperçois que beaucoup de jeunes demoiselles viennent chercher cela chez moi :
Se faire remettre en place, se sentir dominée certes mais aussi voire surtout s'en remettre en confiance à quelqu'un, à moi en l'occurrence, bien à l'abri de mon aile.
Se sentir en confiance et être guidée dans la découverte de soi, de son abandon, entre liberté rebelle et mise au diapason.

Là encore quelque part je trouve cela plutôt valorisant. D'autant plus qu'il s'agit bien d'accompagner et de laisser vivre et non de manipuler ni d'oppresser comme c'est trop souvent le cas dans ce type de relation.