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Jais
24 novembre 2006

Jais goûtait au libertinage

Au cours de mes diverses relations, j'ai toujours été attiré par un peu d'exception. Les jeux de voyeurisme, d'exhibitionisme, de sado masochisme soft ou moins. J'ai également approché l'échangisme, ou les relations à trois. En tant qu'homme j'ai toujours eu un peu d'appréhension à jouer en compagnie d'un autre mâle.
J'ai une nature dominante surement, ce qui veut dire compétition des mâles.
Un jour ou plutôt un soir, un couple très à l'aise s'offrait devant moi et mon amante. Une partie carrée entre voyeurs et peut être plus donc. Le type était très sympa, cultivé, et monsieur était notemment méga bien membré. ça m'a plutôt coupé la chique à vrai dire !
De même, la première fois que j'essayais avec deux femmes, je ne me sentais plus trop maîtriser la situation non plus. Pas le temps d'apprivoiser notre invitée que ma compagne introduisait chez nous, qu'il fallait être à l'aise, voire efficace. Même en une soirée et un repas, j'étais déboussolé... L'amie en question intégrait non pas notre lit mais notre histoire avant tout. Hors je suis quelqu'un qui aime apprivoiser les corps et les âmes à vrai dire. D'ailleurs ce n'est qu'une fois cette amie bien apprivoisée, tout se passa plutôt bien. :)))

J'ai eu l'occasion depuis de recommencer, avec une tierce personne que je connaissais bien et là oui, j'avais tout mes moyens et plus encore tant je faisais le coq devant ma compagne admirative de mes oeuvres auprès d'elles deux !
Soupirs... nostalgie....

Un jour, j'étais encore très amoureux de ma chérie (halala quelle douce folie Jais !), une femme m'approchait en perspective d'être invitée prochainement à partager notre lit, d'approcher via un homme, un couple et une première avec une femme donc. Pour cette première approche, ma compagne était absente, elle savait mais ne pouvait être de la soirée, elles se connaissaient déjà un peu et se désiraient.
Mais je savais ma chérie dépitée de ne pas en être, à griffer autour d'elle d'impuissance et de jalousie primitive. Ce soir là j'eu la panne la plus manifeste de ma vie. Je ne pouvais rien faire tant que je savais ma chérie dans cet état de frustration. Et ce n'est que bien plus tard dans la nuit, après avoir été rassuré par elle, et ranimé par la jeune furie toute excitée que je parvins à me réveiller l'entrejambe.

J'ai analysé mes expériences et depuis compris que le libertinage était bien de l'ordre de l'exceptionnel. En ce qui me concerne, sensible et cérébral, il dépasse largement le plan Q d'un soir. Eventuellement une improvisation subite est toujours possible, mais c'est encore plus rare ça !! En duo, il faut être fort et/ou libre de la dépendance amoureuse l'un de l'autre et de sucroit il faut être à l'aise, expérimenté peut être, joueurs, respectueux, confiant et bien dans sa peau. Et si possible en tout cas là aussi en ce qui me concerne, avoir bien apprivoiser la ou les comparses de jeu.

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