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Jais
14 mai 2007

Jais était englouti

Sourire.
Ce titre prête à confusion n'est ce pas ?
Et il ya de quoi.
Il s'agit bien de ce à quoi vous pensez avec un esprit mal tourné oui oui.

Oui j'ai récemment eu l'occasion de me faire avaler profondément au fond d'une gorge. Argl !

Ho ce n'était pas la première fois qu'une fellatrice gourmande à souhait s'essaya à m'engloutir ainsi l'ustensile au plus profond de son gosier, non mais là, oui mais alors là, vraiment, je n'avais jamais été englouti si loin.
Ce n'est pas non plus que j'en ai une petite ou une toute longue ou quoique ce soit, je suis normalement fourni, et passe agréablement partout, bénis soient les dieux, mes parents et Mère Nature surtout.

Avec cela j'ai eu l'occasion de me faire sucer par bien des dames et demoiselles :

- des petites jeunes timides qui s'excusent par avance en annonçant clairement la couleur avec gêne et timidité craquante : "je suce mal il parait..."

- des femmes revanchardes jubilant de cette sensation rare ou une femme maîtrise un homme devenu soudainement si vulnérable entre leurs mains, et leur bouche en l'occurrence aussi ;)

- des pures gourmandes de la gâterie, qui aiment ça, point.

- des femmes pudibondes toutes excitées en conséquence, car lorsque c'est sale ou interdit cela procure une trouble gênant certes mais si tentant que ça en devient plus cochon encore !

Question gorge profonde j'ai aussi croisé une ou deux femmes en phase d'apprentissage autodidacte et qui se voulait d'essayer sur moi à la gorge profonde et à passer la barrière fatidique de la luette, et à dépasser le reflexe gastrique qui va généralement avec.
Et si parfois elles y arrivaient, il s'agissait alors de trouver comment respirer.
Sourire, que de fous rires parfois.

Et pourtant, jamais de mon fait j'ai pris l'initiative de demander ou de forcer au delà de ce qu'une femme vous accorde à ce niveau là.

Cette fois ci, je fus englouti donc.
La demoiselle se plaignaient de ces précédents amants mal dimensionnés, trop ou trop peu dirais je, ou de leur attitude exigeante ou impatiente voire de leurs comportements trop stéréotypés.
Ou simplement pas assez digne d'interet pour leur offrir ça.

J'étais l'heureux élu du moment pour passer le cap si je puis dire.
Je ne vais pas détailler ici la volupté d'une caresse buccale pour un homme.
Je voulais juste souligner l'expérience.

Au fur et à mesure de nos nuits ou mon amante et moi nous découvrions corps et âmes, nous poussions les ébats et les jeux de bouche plus avant. Cela commença part la classique "pipe", mise en vigueur bien observée en coin, chacun à l'écoute de l'autre. Puis nous nous essayions à des variantes, des précisions, des indices. Puis jouions à découvrir d'autres sensations : la fellation avec la main puis sans les mains, juste la bouche et la langue, des bisous, des léchouilles tendres toutes en sourires et gourmandises.

Ma Demoiselle était fascinante, je le sentais, elle essayait, sans oser demander mais en guettant mes réactions, à aller chercher, loin, toujours plus loin.
Pendant une fellation, il y a des moments où, pour ma part en tout cas, le temps s'arrête. Et là c'était bien ma douce qui l'arrêtait, elle savait se caler pour ensuite passer les amygdales.
Une femme ou deux m'avait fait vibrer d'un tel tour de force précédemment et j'avoue que cela me transporte.
Là il y avait plus encore.
Sentir le premier bisou gloups et s'enfoncer jusqu'au fond du palais c'est déjà grisant...
Sentir en plus une langue lecher la base de la queue et plus bas encore, devient affolant.
Sentir une pause et se sentir disparaitre dans une pression plus chaude autour du gland est étonnant d'abord puis hallucinant.
Sentir qu'on s'enfonce au delà... Je ne sais plus qualifier ça.

J'ai été englouti.

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Commentaires
S
Fais un effort ! Tu trouveras un qualificatif...
N
Sourire... juste sourire ce soir...<br /> <br /> Je t'embrasse
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Jais
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