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Jais
11 juillet 2007

Jais était aspergé

Je suis ravi d'avoir approché, et d'avoir été ainsi inondé par une femme fontaine comme on dit.

Ho ce n'était pas la première fois en vérité mais j'ai en effet été étonnament surpris et aspergé par une douche des plus incroyables à vivre.

Je ne refais pas la définition d'une femme fontaine ? Si ? Bon : on appelle femme fontaine une femme dont la physiologie, ou la force des orgasmes sont telles qu'elles coulent abondamment une sorte de liquide mi lubrifiant, mi sueur diluée ou je ne sais quoi, à l'odeur de canelle et faisant encore partie des mystères féminins assez mal compris...

Une recherche google vous donnent des tonnes d'articles sur le sujet en voici quelques uns :

C'est vrai que c'est peu courant et peu connu même si de plus en plus évoqué.
Moi aussi donc ! ;)

La première fois je visitais une femme qui m'invitait chez elle pour une long week-end de stupre. Une jeune dame mal dans sa peau, mère célibataire, lourd passif psychologique, trop en chair et au visage très agréable cela dit.
A l'époque, j'étais moi même en quête de découverte et d'aventure. Sa méconnaissance de ses éjaculations féminines et ses partenaires succéssifs et maladroits la rendaient touchante à mes yeux. J'étais vraisemblablement le premier homme qui n'allait pas la juger ni la traîter de grosse salope de pisseuse dégueu... Cela dit, ayant grandi dans ce contexte, elle éprouvait un sentiment partagé entre une honte infinie, et désir d'assumer ce qu'elle était via une sexualité expressive digne de la salope qu'elle était devenue, de gré ou de force d'ailleurs.
Je découvrais cette femme et ses orgasmes coulants, manuels surtout, de loin et un peu détaché donc.
Je ne détaillerai pas la sexualité, les désirs et les fantasmes extrêmes qu'elle avait mais du coup j'assimilais bien la culpabilité ressentie, le trouble partagé et la logistique à mettre en place autour d'une femme fontaine mal dans sa peau. Je "savais" désormais ce que c'était donc.

J'ai depuis redécouvert avec grand plaisir cet étonnant phénomène féminin, sexuel, et à partager sereinement à deux surtout. Ma compagne s'était déjà timidement ouverte à moi comme quoi "parfois elle coulait" dans une certaine position seulement, une ou deux fois. Cela n'était pas encore arrivé avec moi, elle se retenait, elle avait honte, ne serait ce de jouir fort et en criant, mais aussi en vérité de se sentir monter en puissance de jet.

Un jour, j'ai été aspergé.

Mon amante était à cheval sur moi et me chevauchait comme une diablesse jouisseuse, succube en quête de mon foutre libérateur de ses orgasmes qu'elle prenait à la chaine et sans discontinuité. Entre deux râles, elle lâcha un : "hooooo je vais couler"...  Un peu pour me prévenir et pour obtenir ma réaction : oui ou non ?

"Lâche toi ma belle !" lui dis je alors, comme souvent ;).

Splash !!

J'avais déjà pris l'habitude à avoir le pubis bien humide lorsque mon amante s'usait l'entrecuisse ainsi à cheval sur moi mais là ça me giclait de partout jusqu'aux épaules, et les genoux, et tant pis pour le drap, la honte, la culpabilité, le parfum de salope, et tout ça !!

Je confirme le ressenti tel qu'on peu le lire un peu partout en forum ou en blog ici ou là.
C'est jouissif, je me savais déjà rassuré de savoir faire jouir une femme, de la faire jouir plusieurs fois en série, de la faire jouir fort, mais là en plus des soubresauts et vibrations, et pamoisons post explosions, il ya une matérialisation féminine, une liquéfaction orgasmique, un aspersion digne d'un champagne de la victoire. L'orgasme devient un chant de sirène, et tel Ulysse, je me sens irrémédiablement attiré vers l'ondine et son bassin aux nombreuses vagues, je veux entendre ce chant plus encore et sentir la chaleur des vagues m'inonder et le désir est fort d'y retourner pour s'y noyer !

Je ne vous cache pas que ma jouissance se fait immédiatement en phase chez moi, qu'il n'y a plus rien au monde que cette communion de fluide, que nous concoctons une potion magique d'essence sexuelle, la plus puissante des magies en vérité, j'en suis convaincu.

Depuis, nous recommençons, ce n'est pas automatique, même si je la remplis souvent, mon amante se vide une bonne fois pour toute puis ne se ressource que progressivement. Et ses orgasmes sont plus aériens que liquides si nous recommençons nos jeux rituels par la suite.

Avec beaucoup de jeu et d'entraînement, je suis parvenu depuis à la faire couler, dans d'autres positions.
J'ai pris ma revanche en la faisant jouir et s'arroser elle même, en lui arquant les jambes très haut derrière elle, les chevilles au niveau des oreilles.

L'arroseuse arrosée, haha : bien fait !

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Commentaires
J
Quoique en terme de quantité sincérement je pense avoir été dépassé. ;)<br /> Mais il ne s'agit là que d'une boutade ludique Ambival. Je n'ai pas du tout d'esprit revanchard. Au contraire ! :))
A
bizarre ce besoin de prendre sa revanche...nous sommes plutot dans une espece de reciprocité ?!
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Jais
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